RETOUR PAGE D'ACCUEIL

 

POURQUOI L'ADIDE

 

CONTACT et ADHÉSION LES DIFFÉRENTS BULLETINS ACTUALITÉS  
     

 

 

L'ADID COMMUNIQUE (N°1)

Avril 1996

 

Numéro épuisé.

Désireux de présenter notre association, nous avons décidé de faire paraître ce bulletin pour dire qui nous sommes et, par la même occasion, donner quelques informations et points de vue sur notre vie locale...

 

L'ADID : une association de défense de l'environnement

L'ADID (Association de Défense des Intérêt Dieulefitois) a été créée en décembre 1978 pour lutter contre le projet de déviation de Dieulefit, mais nous avons tout de suite intégré dans nos statuts (outre les problèmes de circulation) la défense de l'environnement et la protection des sites et des patrimoines

Nous sommes ainsi une des 5000 à 6000 associations qui, en France, se donnent le même but.

- Depuis 1982, l'association est agréée par la préfecture au titre de deux articles du code de l'Urbanisme :

* l'un qui lui donne le droit d'être consultée à sa demande sur l'élaboration du Plan d'Occupation des Sols (POS),

* l'autre qui lui donne le droit d'agir en justice si elle l'estime nécessaire. C'est ce que nous avions fait en 1992, lorsque nous avons intenté une action contre la déviation auprès du Tribunal Administratif de Grenoble (COMPLÉMENT 2006: L'enquête publique portait sur la réalisation complète de la déviation et les projets ne prévoyaient dans les délais impartis (avant 1997) que la réalisation de la moitié de la déviation. Le Conseil Général à gagné sous le prétexte qu'il réaliserai la deuxième tranche dans la période de renouvellement de 5 ans c'est à dire avant 2002 !!!! A ce jour, on en reparle d'acheter le terrain lors de la vente de Réjaubert.)

- Depuis 1992, cet agrément a été étendu au territoire de la Communauté de Communes du Pays de Dieulefit. Il représente une sorte de reconnaissance par les pouvoirs publics de notre légitimité à agir dans les domaines définis par nos statuts...

- Nous souhaitons poursuivre nos réflexions sur tous les problèmes concernant l'environnement, en coopération avec nos élus, tout en gardant notre liberté d'expression.

- Les associations de ce type peuvent être considérées comme un lien entre les élus et la population et non comme un frein empêchant toute initiative de voir le jour.

Nous n'avons jamais demandé de subventions à la Municipalité et nous vivons uniquement sur les cotisations des membres. Ainsi, si la publication d'un tel bulletin vous intéresse et si vous souhaitez qu'elle continue, venez faire part de vos remarques et suggestions à notre prochaine Assemblée Générale...

 

La déchetterie : où en est-on ?

La collecte sélective des déchets ménagers sur le Pays de Dieulefit est évoquée depuis plusieurs années par nos élus locaux, mais avec quel résultat ?

Dès 1991, la commission extra municipale à l'environnement de la Municipalité de Dieulefit abordait l'étude de l'implantation d'une déchetterie sur le territoire de la Commune. Une exposition avec débat organisée par un représentant de la société TRIVALOR concluait cette étude. Chiffrée et argumentée, elle proposait le site de l'actuelle décharge des Vitrouillères comme lieu idéal pour l'implantation d'une déchetterie intercommunale. En effet, ce site regroupe de multiples caractéristiques plaidant en faveur d'une installation :
* Une déchetterie étant un lieu propre, son implantation aux Vitrouillères permettrait de GERER ce site, de le REHABILITER, de le CONTROLER, ce qui fait actuellement cruellement défaut.
* Le maintien de l'élimination des gravats, déchets verts au sein même de la déchetterie fréquentée tant par les particuliers que les professionnels avec l'avantage d'une gestion du site.
* Localisation proche de Poët Laval qui avec Dieulefit, constitue un bassin de population non négligeable au sein du canton.
* Enfin, ce site est propriété de la Commune de Dieulefit, ce qui facilite son aménagement.

Or depuis cette étude, rien n'a vraiment bougé. La Communauté de Communes du Pays de Dieulefit a vu le jour, avec comme compétence spécifique : "l'étude de l'implantation d'une déchetterie", ce qui confirmait le caractère intercommunal d'une telle structure. L'ADID qui a repris le flambeau de la commission extra municipale a continué depuis le travail de la collaboration avec les élus de la Communauté, sans que la réalisation d'une déchetterie soit réellement évoquée.

Cependant, des contraintes économiques et un cadre légal plus contraignant sont apparus. Une loi de 1992 impose en effet la disparition en 2002 des décharges libres pour ne laisser que des lieux d'enfouissement de déchets ultimes. Le coût de l'enfouissement croît de manière constante. Le département incite les communes du Sud Drôme et Sud Ardèche à mettre en place de manière cohérente une collecte sélective des déchets ménagers dans le cadre du PIED : Plan Interdépartemental d'Elimination des Déchets.

Face à cette nouvelle donne, certains de nos élus se sensibilisent et une nouvelle approche de la gestion des déchets semble se dessiner.
* Visite de plusieurs déchetteries en SudDrôme.
* Diffusion de bacs à compost pour une revalorisation des déchets putrescibles.
* Demande d'une modification de la facturation auprès du SITOM (Syndicat Intercommunal de Traitement des Ordures Ménagères) tenant compte du volume des déchets enfouis, plutôt que du nombre d'habitants comme c'est le cas actuellement.
* Décision d'installer sur toutes les communes de la communauté des bacs spécifiques destinés à la collecte sélective du verre et du papier/carton pour fin 1996.

Mais la mise en place d'une déchetterie n'est pas envisagée avant 3 ans au mieux. Cela signifie que la décharge des Vitrouillères, dont rien n'indique qu'elle accueillera un jour notre future déchetterie, doit faire l'objet d'une véritable attention si l'on veut éviter l'irréparable dégradation du site.

 

Retrouvons les Vitrouillères

Les anciens de Dieulefit se souviennent certainement d'un panneau publicitaire de Citroën, de forme ovale, installé Place de l'Eglise et qui indiquait : "Les Vitrouillères - Site pittoresque- 1,8km".

Les Vitrouillères sont bien toujours à 1,8km de la Place de l'Eglise mais on ne peut plus dire qu'elles représentent un site pittoresque. Le nom même n'évoque plus, pour les plus jeunes et les nouveaux arrivants, que la décharges pour les gravats et les débris de jardins. Cela s'avère bien commode, mais qui tue l'usage à but de jeux ou de promenades, que cet espace offrait autrefois aux Dieulefitois ou aux touristes. Et pourtant, une grande partie de cet espace appartient à la Commune de Dieulefit, donc à chacun d'entre nous.

En plus de la décharge (qui n'est pas d'un aspect très engageant), l'accès au "Chemin de la ferme Jeannot", qui était un lieu de promenade très apprécié, n'a pas été remis en état depuis son éboulement en 1960. L'un des propriétaires locaux interdit tout passage sur son terrain. Faudra-t-il aller jusqu'à l'expropriation ?

Il faudra bien, le plus rapidement possible trouver une solution à tous ces problèmes. Fermer totalement le site risquerait d'entraîner la création de dépôts sauvages et poserait le problème du stockage des gravats. C'est pourquoi, depuis plusieurs années, nous avons proposé à nos élus et en particulier à la CCPD (Communauté de Commune du Pays de Dieulefit) d'installer une déchetterie à l'emplacement de l'actuelle décharge. Une déchetterie est organisée, définie comme une aire aménagée et gardiennée. Cette solution devrait permettre d'éviter la dégradation irréversible de ce site pittoresque.

Pour que tous, retrouvions le désir de redécouvrir cet espace, nous proposons que chacun recherche dans son grenier, dans ses archives familiales, des dessins, des photos qui pourraient faire l'objet d'une exposition sur le thème : "les Vitrouillères, Hier et Demain". Merci de nous transmettre les éléments (ou copies) que vous seriez susceptible de retrouver.

Qui se souvient encore de la Dame Blanche ?
Qui se souvient des carrières d'argile à l'origine de la poterie de Dieulefit ?
Qui se souvient des glissades et des marches creusées dans les falaises d'ocre jaune ?

Il ne s'agit pas de se noyer dans la nostalgie du passé, mais de favoriser par une prise de conscience collective, la reconquête de cet espace magnifique, à moins d'une demie heure du centre-ville et de le rendre à sa vocation touristique.

COMPLÉMENTS

* Une journée de nettoyage a été organisée par l'ADIDE. De la première combe (celle du "Banc des vitrouillères"), plus de 20 m3 de plastiques, cuisinières, panneaux, éléments de voitures, ont été sorti avec l'aide du tracteur municipal. Il reste une Peugeot et une Panhard... Que les différentes municipalités n'ont toujours pas ressorti, ainsi que des fondations en béton de poteaux électrique...
* L'ADIDE et DSM ont créé et balisé des sentiers dans le site. Descendre prés du "banc" pour arriver au "petit lac". Attention la descente très raide et le terrain est instable...
* Plusieurs interventions de l'ADIDE au près des services techniques et des chauffeurs des bulldozers, ont sauvé la première barrière de safre évitant que la décharge vienne, de façon incontrôlée, toucher la grosse barrière dont le sommet est blanc...
* Lors de l'ouverture de la déchetterie en 2005, la décharge de tous déblais est interdite.

 

Des routes : pour qui ? pour quoi ?

"Le bitume des directeurs de l'équipement me ronge l'estomac." (François Mitterrand)

Tout le monde a pu remarquer, de temps en temps, des travaux sont effectués sur la route de Montélimar. On aménage un carrsefour par-ci, on élargie un bout de route par-là, on rectifie un virage. Mais ces travaux correspondent-ils à un plan déterminé, à un objectif précis ?

Quel est le but poursuivi :
* faut-il aller plus vite entre Dieulefit et Montélimar ?
* faut-il pouvoir doubler avec plus de sécurité ?
* faut-il diminuer le risque d'accidents ?

Ces exigences sont peut-être contradictoires !

* l'aménagement de cette route entre-t-il dans un plan plus vaste de circulation ? Est-il coordonné avec d'autres opérations ?

Personne n'est au courant, et il existe un manque évident d'informations sur les programmes de ces travaux, sur leur coût, sur leur nécessité.

Une situation identique se trouve sur la route de La Roche Saint Secret. On casse des virages, on va tout droit, en enlevant ainsi un certain charme de nos petites routes au profil de quel avantages ? Si l'on doit dépenser de l'argent, ne pourrait-on pas en profiter par exemple, pour aménager des pistes cyclables, qui s'avèreraient bien plus utiles pour circuler en Vélo avec plus de plaisir et de sécurité dans ce pays de tourisme ?

On nous rabâche qu'il faut faire des économies, mieux utiliser l'argent public; et pourtant, de nos routes départementales à nos autoroutes, beaucoup d'argent est dépensé. Pas pour rien, certes; notre réseau routier est de bonne qualité, mais les choix qui sont faits sont-ils toujours très raisonnables ?

Les grands axes de circulation dans notre département sont essentiellement nord-sud : l'autoroute A7, la nationale 7, l'itinéraire bis de délestage passant par Chabeuil, Crest, La Bégude de Mazenc, Carpentras, bientôt peut-être l'autoroute A79 (A7 bis) révélant ainsi la priorité donnée systématiquement à la route au détriment d'autres solutions, comme le ferroutage, pour assurer le trafic des poids lourds sur de longues distances.

A l'écart de ces grands courants de trafic nord-sud, Dieulefit ne se trouve pas non plus sur un grand axe de trafic est-ouest. Sa position géographique, appuyée sur un cirque montagneux, ne lui donne pas de vocation de transit massif vers un arrière-pays. Dans tout le bassin de Montélimar, des axes directs relient cette ville à Nyons, Valréas, Bourdeaux, sans passer par Dieulefit.

Ainsi on ne traverse pas Dieulefit, on y va. C'est une des raisons pour lesquelles la déviation vers Bourdeaux ne se justifiait pas, mis à part la difficulté du virage devant la mairie qui aurait pu se régler autrement.

Cependant, les raisons d'aller à Dieulefit sont nombreuses. particulièrement en période d'été, sans oublier les difficultés pour y circuler et y stationner. Des dispositions sont prises par nos élus pour améliorer la situation. L'aménagement de la Place Châteauras entre dans le cadre. Mais beaucoup reste à faire, autant que possible en concertation avec la population; en particulier pour la circulation des piétons, des vélos, des fauteuils roulants pour handicapés ou personnes âgées, des poussettes à bébé. Ne nous laissons pas enfermer à Dieulefit dans la seule circulation automobile, aussi importante soit-elle.

 

 

"Harmonie" : Une association de défense de l'environnement à Poët-Laval

Les buts de l'association pour un développement harmonieux de Poët-Laval sont :

* Conserver et développer le caractère spécifique de Poët-Laval, un des cent plus beaux villages de France.
* Alerter les habitants de tous les évènements qui iraient à l'encontre de l'intérêt général, notamment en ce qui concerne l'environnement.
* Etre le porte-parole d'autres associations de Poët-Laval lorsque la nécessité d'agir ensemble l'impose. Ceci avec l'appui de l'ADID, si nécessaire.
Etre à l'écoute des habitants.

Les activités de base qui en découlent sont :
* Suivie des opérations et projets du Conseil Municipal.
* Représentation de Poët-Laval au sein de l'ADID
* Participation au Conseil d'Administration de la Maison de la Terre.
* Favoriser les rencontres entre les habitants par une fête, organisée en 1996 par la Mairie. Elle permettra aussi de découvrir les compétences des uns et des autres.
* Participation aux commissions municipales.

QUELQUES INFORMATIONS DE POËT-LAVAL

* Problème d'actualité que celui des poubelles. Réflexion pour leur intégration dans le mobilier rural en parallèle avec les études pour les abris bus et les panneaux d'affichage. Poët-Laval participe à l'opération "Vacances Propres" en été. Réflexions sur les incidences du tri des déchets.
* Question sur la réfection des vieux murs.
* Recherche et ouverture de circuit pédestres de petite durée.
* Ecoute des problèmes actuels de l'école rurale de Poët-Laval.

 

 

La déviation débouchera-t-elle entre les Ecoles ?

Le Projet de déviation de Dieulefit, à l'origine, partait route de Bourdeaux, du pont de Gournier à la hauteur de l'ancienne piscine et longeait toute la rive droite du Jabron à travers le quartier de Masseboeuf. Nous avons pu, par la création de l'ADID, éviter le pire.

Même si nous n'avons pas eu gain de cause sur l'ensemble du projet. En effet, la requête que nous avions présentée en 1992, auprès du Tribunal Administratif de Grenoble contre la déclaration d'utilité publique du Préfet a été rejetée par un jugement en date du 14/2/1996. Le Conseil d'Administration a décidé de ne pas faire appel de ce jugement. Cependant, un problème reste posé qui est celui du débouché de la déviation entre le écoles et qui a motivé la lettre suivante que nous avons adressées le 24/2/1996 au Président du Conseil Général :

"Les travaux de la déviation de Dieulefit ont commencé à la hauteur du pont de Chamonix, à l'entrée de Dieulefit, côté Bourdeaux. A cette occasion, nous souhaitons vous exprimer notre inquiétude, relative au débouché de la déviation entre les écoles, inquiétude que nous partageons avec l'association des parents d'élèves, l'amicale laïque et de nombreux Dieulefitois.
Cette situation est présentée comme provisoire, mais nous craignons que ce provisoire devienne définitif, si rien de nouveau ne se produit. En effet, l'article 2 de l'arrêté N° 2029 du préfet en date du 29/6/1992, rappelle que "l'expropriation ou l'acquisition des terrains nécessaires à l'exécution des travaux dont il s'agit, devra être réalisé dans un délai de 5 ans à dater du présent arrêté." Or, ce délai expire dans un peu moins de 18 mois, le 29/6/1997 et il ne semble pas que la situation vis à vis du Club Med ait évolué. Aussi utile que soit le Club Med pour le renom et la vie économique de notre Pays de Dieulefit, il n'est pas au-dessus des lois et à défaut d'accord amiable. La procédure d'expropriation devrait pouvoir lui être appliquée comme aux autres propriétaires concernés.
En conséquence, pouvez-vous nous informer s'il est bien dans votre intention de réaliser dans les plus bref délais, l'intégralité du projet, depuis la RD 538 au Nord de l'agglomération, jusqu'à la RD 540 au Sud-Ouest, conformément à la déclaration du Préfet dans sa lettre du 10/4/1996, adressée au Président du tribunal Administratif de Grenoble : "Le projet déclaré d'utilité publique n'est ni modifié, ni abandonné partiellement et c'est toujours l'intégralité du projet qui doit être réalisé." Si la déviation doit se faire, qu'elle se fasse dans sa totalité, seule condition permettant d'assurer la sécurité à la hauteur des écoles."

REPONSE DU PRÉSIDENT DU CONSEIL GÉNÉRAL

Nous avons reçu le 13/3/1996 une réponse de Mr Mouton, Président du Conseil Général, à notre lettre du 24/2/1996.

Mr Mouton confirme la position du Conseil Général, à savoir qu'il n'est pas question d'abandonner la partie Sud de la Déviation jusqu'à la route de Montélimar. Il précise qu'un crédit de un million de francs a été inscrit au budget du Département pour réaliser, dès cette année, un giratoire de jonction entre la déviation et la Rue des Ecoles. Des aménagements seront prévus pour améliorer la sécurité.

Cependant, il ne précise pas dans combien de temps pourra être entreprise la deuxième tranche de travaux et ne répond donc pas sur ce point à notre inquiétude. Il indique que des discussions sont envisagées avec le Club Med pour tenter d'aboutir à un accord amiable avec cet organisme. Mais le problème de la durée de validité de la déclaration d'utilité publique du Préfet n'est pas abordé et notre crainte que cette accord puisse ne jamais être obtenu, reste vive.

Nous pensons qu'il convient de rester vigilant sur ce point.

Compléments :

En 1997, la validité de l'enquête publique a été légalement prolongée de 5 ans.

Depuis le 29/6/2002, en cas d'accident, il est possible d'attaquer le Conseil Général pour le non respect de ses prérogatives et des décisions de justice...

 

 

"L'Echo des Savennes" un bulletin d'information sur la vie locale

à Pont de Barret

Amoureusement couvée par ses géniteurs, une nouvelle association a vu le jour à Pont de Barret en octobre dernier. Il s'agit globalement de proposer l'amélioration des conditions de vie au village, de favoriser les relations entre les habitants et pourquoi pas, d'agir par des interventions directes en matière d'environnement (nettoyage, plantations... ).

La nouvelle née s'appelle : "l'Echos des Savennes". Elle doit son nom aux premiers habitant gallo-romains installés dans la plaine des Savennes à Pont de Barret. Elle édite un journal bimestriel ouvert à tous et distribué sur Pont de Barret par la poste. (2 numéros déjà). Les ressources proviennent des adhésions (une cinquantaine), à compléter sans doute par des manifestations conviviales.

Equipe de rédaction :
Philippe Ber
rard, Peter Burstow, Marc Gauthier, Vincent Morin, Jacques Olivet, Michel Raison, J-Jacques Peyreron, Marie-Thérèse Ricard-Demêmes, Danielle Tosello.

Vous pouvez lire des articles des précédents numéros sur http://adide.free.fr.
Il reste des exemplaires 4, 5, 6 et 7

Association du Pays de Dieulefit pour l'Information et la Défense de l'Environnement
Association loi de 1901 déclarée le 19/12/1978 sous le N° 0263005855

Responsables administratifs :
Vincent Morin 04 75 46 88 88,
Jacques Olivet 04 75 46 43 81,
Michel Raison 04 75 46 48 13
Marie-Thérèse Ricard-Demêmes 04 75 46 43 51,
Danielle Tosello 04 75 46 86 52

sans votre soutien, nous n'aurons plus de budget suffisant pour la parution du prochain bulletin
Bulletin d'adhésion / de soutien ˆ l'ADIDE (à recopier)

Nom Prénom
Adresse

tel e-mail

J'adhère à l'ADIDE pour l'année 2006 pour un montant de 15 €

je soutiens l'édition du bulletin _____ €

Soit un total de et j'adresse un chèque de ________€

Les chèques sont à établir à l'ordre de l'ADIDE et
à adresser à
Vincent Morin, Trésorier de l'ADIDE, Chemin de la Verrerie, 26220 Dieulefit

L'ADIDE est habilitée à recevoir des dons et des subventions dans le cadre de la loi.

 

 

 

 
infos légales
 

Conception et réalisation du site : Association “ADIDE”.
© Copyright 2006
. La reproduction de tout élément présent sur ce site est soumise à l’autorisation préalable du propriétaire du site.